9 décembre 2016

Une plante indocile nommée Câpre

Eloge de la liberté

J'ai quelques plantes fétiches, avec un gros coup de coeur pour la famille des succulentes, aéoniums en particulier mais pas que... Il en est une que j'aimais avant les aéoniums et que je continue à adorer : le câprier.
Sans savoir sur quoi ils poussaient, à part dans de petits bocaux en verre où ils baignaient dans la saumure, j'ai, depuis la plus tendre enfance, aimé les câpres que l'on met dans la cuisine, dans les salades de tomates, les plats méditerranéens, avec leur goût inimitable. Ils sont comme le disent certains maintenant "trop bons".

Et puis les séjours dans les îles grecques sont arrivés et j'ai découvert une plante qui avait une fleur magnifique, fine, élégante, de grandes étamines blanches surmontées d'un violet éclatant, une merveille de mon point de vue, et qu'on trouvait un peu partout, dans les endroits en friche, dans les vieux murs ou même les plus récents, pour peu qu'il y ait une anfractuosité où elle puisse se caler.